Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle : Dans Le Souk.
Je termine le récit de ces vacances du printemps 2015, où nous étions allés en Tunisie, dabord pour que Philippe ait une occasion dassumer sa bisexualité (voir les récits « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : le plaisir davoir un mari bisexuel », publié le 14 juillet 2019 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : un séjour candauliste », publié le 11 août 2019), mais Philippe noubliait pas son candaulisme et moi les besoins provoqués par mon hypersexualité.
Le lendemain, Philippe se réveillait dexcellente humeur et, après que je lai gratifié de sa traditionnelle fellation matinale, il me demanda si, comme prévu, je pensais aller rejoindre ces deux commerçants à qui jallais moffrir en sa présence.
Sur linsistance de Philippe, je leur ai téléphoné. Cest Mouloud qui a répondu.
Bonjour ma colombe. Tu as tenu parole, cest bien. Nous tattendons.
Je viens, mais avec mon mari.
Si ça lui fait plaisir, on va lui montrer comment on va te câliner et te faire jouir. Il va adorer !
Nous avions rendez-vous avec Mouloud et Majid au cur des souks de la capitale Tunis. Après sêtre faits déposés par un taxi, nous avons laissé derrière nous l'avenue Habib Bourguiba et le quartier colonial, nous sommes entrés dans la médina par la porte de France, ou Bab el Bahr (porte de la Mer).
Philippe me tient par la main. Il a beaucoup insisté pour que je porte une mantille sur les épaules, de façon à ne pas faire scandale.
Dans ce labyrinthe de souks et de mosquées, nous avons quitté les rues principales et leurs pièges à touristes pour découvrir un Orient rêvé : mausolées princiers aux stucs et aux céramiques somptueuses, hammams et ventes à la criée dans les passages voûtés...
Philippe, toujours pédagogue, mexplique :
Tunis compte au moins une dizaine de souks. De nombreuses boutiques (maison d'Orient, palais d'Orient.
Merci chéri, cest beau mais nous ne sommes pas venus pour ça. Je ne veux pas te faire dépenser de largent, je veux juste que tu moffres du plaisir !
Tu es impatiente, ma belle !
Nous sommes fous davoir accepté cette invitation. Et si cétait un piège, quon se faisait agresser, voler ?
Ne tinquiètes pas, jai indiqué à lhôtel le lieu de notre rendez-vous. Et sil y a une chose que je ne crains pas avec toi, cest que tu te fasses violer !
Tu exagères ! Je ne moffre quand même pas au premier venu !
Majid et Mouloud ont un restaurant dans le souk. Ils ont décidé ce jour-là de fermer exceptionnellement pour nous consacrer leur journée.
Ils nous font entrer et nous reçoivent chaleureusement. Lun après lautre, ils me prennent dans les bras, et sans aucune considération pour Philippe, prennent mes lèvres, alors que leurs mains sont ostensiblement posées sur mes fesses. Je sens contre moi leur érection. Ils sont manifestement impatients.
Nous sommes introduits dans un salon, où ils nous servent un thé brûlant.
Nous fermons le restaurant aujourdhui car nous voulons consacrer notre journée à cette jolie gazelle, expliqua Mouloud.
Depuis notre rencontre avec elle, avant-hier, on ne pense quà ça. Elle nous a rendus fous, on espérait bien quelle tiendrait parole, compléta Majid.
Ca se voyait lautre fois quelle avait envie, mais elle voulait absolument que tu sois présent.
Maintenant quelle est là, elle est à nous, elle sera pas déçue et toi non plus, puisquil parait que taimes ça !
Majid en profite pour me caresser et comme je ne réagis pas, Il passe sa main sous ma robe, repousse ma culotte et frotte son doigt sur ma vulve, en humant le fumet avant de le tendre à Mouloud:
Tiens, sens moi ça! Ca sent la femelle bien chaude !
Mouloud respire bruyamment le doigt tendu en spéculant:
Ca renifle la salope en chaleur, et tu as vu ses seins? Ils sont petits mais semblent bien fermes.
C'est vrai, lâche Majid, ils ont l'ait superbes! Je peux les toucher, Philippe?
Elle est là pour ça. Allez-y !
Putain, ils sont drôlement fermes !
Comme je ne réagis toujours pas, Majid en profite pour prendre ma main et la poser entre ses cuisses, je sens sous le jean un objet long et dur, ma paume sappesantit dessus, ça lui plaît bien, il passe une main dans le décolleté de ma robe et s'empare de mon sein droit quil masse doucement.
Il agace mon téton entre ses doigts et commente pour Mouloud :
Splendide, sa peau est douce comme du satin, je n'en n'ai jamais mais vu d'aussi beaux.
Soudain, il ouvre sa braguette en entier et en sort un membre de belle taille, assez fine mais dune bonne longueur.
Prend-la dans ta main! Ordonne-t-il, tout en me caressant les seins.
Je lui obéis et la prend en mains. Elle est dure comme du granit. Je ne peux sempêcher de la serrer davantage, sentant au creux de ma main battre le désir de lhomme. Philippe nen perd pas une miette. Mon mari candauliste est ravi de la tournure des événements.
Majid se penche sur moi et commence à glisser ses doigts sur mon corps livré à sa concupiscence. Il triture mes seins puis glisse une main vers ma chatte, appuyant sa caresse.
Mouloud, elle mouille déjà ! Suce eahirat alfaransiat (putain française)!
Il la glisse dans ma bouche entrouverte. Tout en regardant Philippe, je me concentre sur cette caresse que jaime tant. A ses gémissements, je sais que lArabe apprécie particulièrement.
Mais il ne tarde pas à se crisper, il att ma tête et me force à avaler le plus possible de ce phallus arrogant qui ne tarde pas à sépancher dans ma bouche accueillante. Jarrive à me libérer et recrache un foutre âcre qui me brûle la gorge.
La prochaine fois, tu avales, compris ? Maintenant, il va falloir que lon te baise comme une pute!
Philippe me regarde, comprend mon accord et le leur confirme :
Allez-y, elle nattend que ça !
Mouloud mordonne :
Déshabille-toi !
Jentreprends dôter ma robe. Je défais les boutons lentement ce qui excitent un peu plus les deux hommes. Je suis en soutien-gorge et jai choisi de porter ce jour-là une petite culotte de soie.
Je dégrafe mon soutien-gorge que je laisse tomber dun mouvement dépaules, libérant ma poitrine, roule ma culotte avant de la glisser sur mes cuisses, continuant le strip-tease improvisé en projetant de mon pied droit le frêle tissu.
Les deux hommes sont troublés par le spectacle, je suis complètement nue, immobile au milieu de la pièce, sans trop savoir que faire, livrée à leurs regards salaces.
Mouloud sapproche de moi en mordonnant :
Maintenant enlève mes vêtements !
Je déboutonne sa chemise, la lui retire, puis je m'accroupis devant lui pour enlever son pantalon et son slip. Je comprends soudain les allusions de Majid tout à lheure. Mouloud ne bande pas encore et pourtant cest une des plus grosses queues que je nai jamais vues, elle est aussi grosse que celle de Majid, mais la différence, cest quelle pend entre ses cuisses !!!
Fais-moi bander !
Je ne réagis toujours pas, il empoigne mes seins et mattire violemment à lui.
Espèce de salope, suce ma grosse queue darabe !
Il me prend par la nuque et colle mon nez sur son gros dard, Je lui donne quelques coups de langue craintifs, cherchant à me dégager
Il me reprend la nuque pour lapprocher de sa grosse queue. Je le laisse faire ne pouvant my opposer et lèche à grands coups de langue lénorme bite.
Il me met son sexe dans la bouche, je commence à le sucer avec appréhension. Cest un véritable étalon, probablement 26/28 cm pour 6 ou 7 de large !!! Cela me rappelle les dimensions dAhmadou (voir récit n°25 et 26)
Je mets mes 2 mains en étau pour le branler et continue à le pomper, espérant échapper au coït en le faisant jouir dans ma bouche.
Son gland est si énorme que je ne peux prendre en bouche pratiquement rien dautre. Sa queue est si lourde que quand je la lâche, elle retombe presque entre ses cuisses.
Occupe-toi maintenant de Majid !
Heureuse déchapper à un tel monstre, je me précipite sur Majid pour le dénuder à son tour. Sa verge est comme un diable hors de sa boite, si raide et tendue quelle touche pratiquement son ventre.
Je lèche un instant son mandrin puis ses couilles poilues. Mais Mouloud se rapproche et me tend sa queue à sucer, j'alterne une fellation entre ces deux magnifiques engins, mais jappréhende la suite.
Je continue de les sucer, ils veulent rentrer les deux glands ensemble dans ma bouche, mais c'est trop pour moi.
Je les pompe l'un après l'autre, leurs grosses mains me caressent un peu de partout. Ils me tripotent les seins et lentrecuisse, tout en me roulant des pelles.
Mouloud et Majid explorent mon corps, triturent ma poitrine et mon derrière.
Majid glisse un doigt dans ma fente humide puis le remplace par son gland quil frotte sur ma vulve.
Depuis Ahmadou, il y alors plus de 6 ans, je nai plus été baisée par un tel étalon. Je ne dis rien mais Philippe comprend au regard que nous échangeons : jai envie de cette queue au plus profond de moi.
Majid memmène dans une chambre et me dit de métendre sur le lit. Il relève mes jambes, les amenant à la hauteur de ma tête, baisse son membre pour le pointer à hauteur de ma fente humide et me pénètre.
Chérie, il va te la mettre. Détends-toi.
Philippe lui tend un préservatif. Majid se contente dun geste de la main :
Tinquiète, le cocu, on va la faire couiner ta salope !
Cest évidemment une folie, mais Philippe comprend que ma volonté est annihilée et quil ne peut plus sopposer désormais à ce qui va se passer.
Voulant vérifier ma soumission, il reste immobile un instant avant de poursuivre la pénétration, et finir par entrer en entier dans mon con.
Mouloud est passé de lautre côté du lit pour que je pompe son engin, il me pince le nez pour me forcer à ouvrir la bouche et introduit son engin entre mes dents. Jai peur quun gland pareil ne me décroche les mâchoires!!!
Il me baise la bouche, essayant dintroduire son monstre au fond de ma gorge pendant que son comparse me défonce la chatte.
Majid me lime comme un lapin. Je gémis et, après avoir éructé un cri de victoire, il se vide en moi presque aussitôt.
Mouloud abandonne ma bouche et prend sans ménagement la place de Majid. Mais il est un peu moins brusque. Sa bouche explore ma fente, sa langue tendue excite mon clito. Il me broute avec application mon petit bouton d'amour.
Mouloud prend son sexe en main et frotte son gland sur ma vulve.
Ouvre bien les yeux et regarde bien ce que je vais te fourrer dans la chatte !
Majid est passé avant, mes muqueuses sont abondamment lubrifiées car se rendant compte que sa queue coulisse bien dans ma chatte, Mouloud finit sa pénétration dun puissant coup de reins.
Ca va chérie ? Vas-y doucement sil te plait !
Ferme-la, toi, et observes bien ta pute. Cest bien ce que tu voulais, non ?
Son pieu massif dilatant à lextrême mes muqueuses, je nen reviens pas que ma chatte ait absorbée une telle poutre et que je sois encore entière !!!
Il me regarde avec linsolence du mâle dominateur, guettant mes réflexes de femme soumise.
LArabe commence à me limer, heureux de voir que je réponds à ses pénétrations puissantes :
Alors
Tu as déjà connu ça, tu aimes ma teub ?
Oui !
Tu en veux encore ?
Ho oui ! Baise-moi bien à fond, tape fort, cest bon !
Nos corps claquent lun contre lautre, il me possède avec ardeur et mon corps répond tout entier à chaque poussée.
Soumise à ce rut effréné, je jouis avec une intensité affolante, perdant toute retenue, offrant ma croupe pour connaître encore et encore ce divin plaisir.
Je ne peux plus me dominer, mes ongles griffent au sang mon partenaire, une plainte continue rythme chaque intromission de ce braquemard hors-norme.
Ouiiiiii ! A fond, ne tarrêtes plus, prends-moi à fond, encore
encore !!!
Mouloud me fore très consciencieusement, au moins quinze minutes avant de se vider en moi.
Et la dose qu'il envoie est proportionnelle à la grosseur de son chibre, jai la chatte complètement noyée et le jeu est si serré entre nos deux sexes quelle déborde à chaque fois que son bélier se renfonce en moi.
Mon dominateur éjacule longuement, ravi de polluer généreusement une Européenne infidèle.
Il reprend son souffle et se retire en minformant :
Tes vraiment une bonne truie ! On va voir maintenant si tu es aussi chaude du fion !
Je suis apeurée mais nose pas me rebeller.
Arrêtez les gars, vous allez lestropier !
Toi, pour la dernière fois, tu mates et tu te tais ! Sinon, tu sors !
Majid me retourne sur le ventre et, malgré mes protestations, se couche sur moi, pendant que Mouloud me tiens les bras. Il glisse sa bite qui a repris de la vigueur entre mes fesses et appuie fortement sur mon anus qu'il a lubrifié avec une coulure de sperme de son acolyte et pousse un bon coup pour memmancher.
Mais il semballe et ne peut résister bien longtemps avant de se répandre dans mes intestins.
Juste au moment où je commençais à y prendre mon plaisir et lui faisait savoir en bougeant mon cul.
Il se retire en me caressant tendrement mais Mouloud, excité par ce quil vient de voir, et un peu reposé, veut lui aussi tester le côté pile et je nai pas la force de le repousser. Il me retourne pour mimposer une levrette.
Il massène quelques claques sur la croupe, mintimant lordre de me tenir tranquille.
Il prend quand même le temps de menduire de gel puis, sans prendre aucun gant, il mempale. Je hurle, pendant quil me défonce le cul sans ménagement. Je ne le croyais pas possible mais mon cul a absorbé sans coup-férir cette monstrueuse bite !
Jai le visage déformé par la douleur alors que, centimètre après centimètre, il me fore létroit conduit, jusquà ce que ses couilles claquent contre mon postérieur. Il ma défoncée jusquà la moelle. Je pensais que le supplice ne durerait pas trop longtemps mais cet homme a une condition physique exceptionnelle.
Le temps semble sêtre arrêté : jattends avec impatience qu'il se vide en moi mais il me prend encore et encore.
Jhurle toujours, autant de plaisir et de douleur mêlée, je prends un pied pas possible, incroyable. Je ne savais pas que jaimais ça à ce point.
Il me laboure de ses coups de reins puissants pendant plusieurs minutes. Ses coups de boutoir si profonds marrachent des cris de plus en plus rapides et je jouis encore une fois.
Mouloud n'en peut plus, il se retire et jouit sur mes fesses, il minonde de sa liqueur.
Tiens-toi prête, nous nen avons pas fini avec toi !
Ces deux étalons mont baisé une bonne partie de la journée. Jai eu du mal à marcher pour regagner notre hôtel et j'ai dû, pendant quelques jours, me calmer pour effacer les traces de ces ébats au niveau de mon con et de mon cul. Cette fois jétais provisoirement rassasiée, démontée, javais eu ma dose Quant à Philippe, il en avait pris plein les yeux, me disant quil avait été fasciné par ma capacité à me prendre de tels engins dans mes deux orifices naturels.
En tout cas notre réputation était faite et, quand les employés de lhôtel parlaient de nous en arabe, on entendait les termes de Kahba en ce qui me concerne et de Zamel (pédé) au sujet de Philippe.
Ces quelques jours de vacances nous avaient permis de réaliser sans freins toutes nos envies, alors que la vie quotidienne et la prudence à laquelle nous nous astreignions limitaient les possibilités en temps normal.
Pour léquilibre de notre couple, si nous limitons habituellement ces pratiques, en évitant de les réaliser à la maison ou même dans la région où nous vivons, il nest pas question dy renoncer complétement. Ces moments plus rares sont dautant plus appréciés, car ni Philippe, ni moi nentendons y renoncer.
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